La visite pas du tout intéressée chez les Vanderburg...
Et pendant que Jeusky assiste impuissante à sa… 6ème rupture officielle, Francky se dit que c’est le moment parfait pour grandir seul, pour ensuite pouvoir se plaindre de la solitude dans laquelle on le laisse. T’AS QU’A ATTENDRE QUE LES ADULTES SOIENT DISPONIBLES, NON MAIS.
« M’en fous, je suis dark, j’ai besoin de personne pour m’en sortir. »
Et voilà où ça nous mène.
« Tu pourrais m’interrompre quand tu vois que j’ai un mauvais timing ! »
C'est-à-dire ?
« Bah là, regarde. Je galoche Nicholas avant même que Loan ait fini de réaliser son souhait, j’aurais pu attendre ! »
Bah oui.
« Et alors ! Pourquoi tu m’en empêches pas ?! »
Parce que ça fait un moment que j’ai compris qu’il valait mieux te laisser faire tes erreurs toute seule.
« Mais, le timing, les règles ? »
Ma pauvre, on n’a JAMAIS fait les choses dans l’ordre, ça va pas me perturber plus que ça.
Alors que sa mère se tape des états d’âme Eric (tiens oui, ça manque d’Eric à se taper dans ce jeu), Francky se découvre une passion pour le rouge, le noir, le dark et le rebelz. Ca promet.
« Hanyo… je ne sais pas du tout qui j’enlace… »
Ca va, ça te change pas trop, toi qui sais pas du tout avec qui tu couches habituellement.
« Celui-là, je t’assure, j’ai pas couché avec lui. »
Il me semble pas t’avoir fait venir chez les Vanderburg pour qu’on cause de quel abruti y est reçu et de si c’est judicieux ou pas de le prendre dans tes bras.
« Putain ! Oui ! Mais merde Hanyo, rappelle-moi les choses ! Tu sais que je m’éparpille super vite ! »
Ah ça…
D’ailleurs, puisqu’on parle de te recadrer un peu, faudra qu’on cause de choses sérieuses en rentrant à la maison, toi et moi, parce que je veux bien être super open-mind comme déesse, mais là on s’éparpille un peu aussi hein.
« Putain Jess, t’as ramassé. »
Toi aussi ma caille. Elle est nouvelle cette ride ?
« Aussi nouvelle que mon dernier mec. Allez, prenons un air détaché, et dansons pour nous raconter les derniers potins, comme le feraient tous amis dignes de ce noms. »
Euuuuh… non. On ne fait pas ça.
« Eh bah nous si. »
‘‘trop de relations amoureuses ont mal tourné’’, c’est joliment dit.
« Et complètement faux ! Comment ça pourrait mal tourner et me rapporter autant de points ? »
Tu suis une logique que toi seule connais, Jeusky.
Dit ce mec qui l’a aidée, au tout début, à détruire une famille entière sur simple demande.
Non mais dis donc ! Est-ce que je te juge moi, déesse omnisciente de mes deux ? Tu peux pas aller omniscier ailleurs pour changer ?
Dont acte. Et je me demande vraiment ce qu’il se passe ici.
Famille de grands malades quoi. Ca se gueule dessus tu sais pas pourquoi, et ça revient la bouche en cœur se faire des câlinous. Bande de tarés.
Et puisqu’on parle de tarés… Jeusky. Le plan. Il est tard. On se bouge.
« Ouais. Jess et Sebastian me laissent dormir ici. Je me prépare. »
« Et j’attends. »
C’est pas en fixant cette urne que…
… ça ira plus vite. Ok. J’ai rien dit.
« Ah merde, je venais juste d’attaquer un livre dis donc. »
Oui hein, quasi-première fois de ta vie ?
« N’abuse pas. »
« Bonjour Monsieur. J’ai fait de longues recherches à la bibliothèque, m’imprégnant de ce qu’a été votre vie, me trouvant pléthore de liens avec vous, et je… je crois… que je suis tombée amoureuse de vous. »
N’importe quoi.
Oh. Putain. Ce fut rapide.
SUPER RAPIDE MÊME. Comme l’arrêt cardiaque de Catarina Vanderburg en voyant la traîtresse de Jeusky forniquer avec le fantôme du majordome de la famille dans son propre lit. ‘Fin, propre, peut-être un peu moins maintenant.
Et on remercie nos fantômes de faire le travail que n’a de toute façon jamais fait Jeusky.
Alors ? Vous me croyiez pas pour Catarina ?
Bieeeeeen. Alors… Voyons voir… Prochaine étape…
« Acheter un bar ? »
Possible oui.
Index de l'histoire
Commenter

C'est Catarina sur la 4ème photo en partant du bas? Bah elle a vraiment changée!!