Fête de fin d'études, et retour à Lama Paluzza !
« Bon, les gars, là je pars, mais comme je sais pas du tout ce qu’il va advenir de l’argent qui reste sur le compte commun, j’ai décidé de tout dépenser et d’améliorer un peu l’assoc’, histoire que vous profitiez à fond de vos derniers moments ici et qu’on n’y perde pas un simflouses ! »
Tu feras gaffe Coralie, t’as ton aspiration secondaire qui prend le dessus, là.
« C’est pas un déshonneur. Maintenant on attend ma famille, on fête, et zouuu, retour à Lama Paluzza ! Hanyo, fais péter l’appareil, faut prendre des photos souvenirs, là ! »
Tu me dis à quoi je sers si tu expliques tout aux lecteurs et si en plus tu prends les photos toi-même ?
« J’ose pas te répondre, je sais que tu peux me tuer en 2 secondes. »
Coralie, voyons. Je n’ai jamais tué Laurent, c’est pas pour tuer un trésor comme toi.
Et zou, dès 8h du matin, tout le monde débarque pour la petite fête organisée par Coralie.
Sony, merci d’avoir fait l’effort d’attendre avant de vieillir, sinon, avec Cher toujours adulte, ça aurait fait bizarre.
« Pas de souci, puis t’as raison, j’ai pas particulièrement envie de devenir sénior hein ! »
Oui, m’enfin t’y échapperas pas, désolée. Juste que tu attendras que Cher soit prête, en fait.
« Je n’aime pas du tout la façon qu’a cette Sophie de regarder mon fiston. »
T’emballe pas Cher, elle va pas le manger. Et de toute façon, c’est Vincenzo qui a commencé à lui compter fleurette, pas l’inverse.
« Ouais, bah ça me plait pas. »
Alalaaa, les mamans et leurs fils uniques…
« Hanyo, tiens-moi ça, j’arrive à rien avec ce truc. »
Ah quand même, on reconnait mon utilité dans ce challenge, ça fait plaisir.
« Ouais ‘fin d’un autre côté, sans toi, on n’existe même pas, alors bon, ton utilité hein, on l’a jamais reniée. »
Coralie, décidément, je t’aime toi. Même avec ta tenue risible et le retour de tes cheveux noirs.
« Tu donnes dans la surexposition maintenant ? »
Désolée, voilà, tu me complimentes, et je suis même plus fichue de prendre une photo toute simple…
« Eh bah, t’étonnes pas que personne ne te fasse de compliments, alors. »
C’est quand l’inverse survient que je m’étonne, à vrai dire.
Oui m’enfin faut dire, si même quand je m’applique on vient me gâcher mes photos, aussi, ça encourage pas, hein.
« Aaaaah, la douce odeur de la liberté ! A moi Lama Paluzza ! »
Oui, alors en fait non, l’odeur que tu sens, là, c’est la poubelle renversée par monsieur vache. Quant à ton retour à Lama Paluzza, file donc préparer tes affaires, moi je prépare le terrain.
Petites vues sur l’association d’étudiants, quand même, qui est arrivée au max de ses adhérents, tout en n’ayant en son sein que le même noyau qu’il y avait à la base. On a bien bossé, je pense.
Voilà, ça, c’est fait.
Et donc, forcément, ça, ça devait suivre.
Bon, allez, on est plus proche de la fin que du début – et je ne parle bien sûr pas QUE de ta vie – donc on se remet au travail, c’est la dernière ligne droite !
Mon pauvre ami… Une si belle collection complète d’insectes pour rien… Je m’en veux de t’avoir fait perdre tant de temps, tiens.
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« Ouais ‘fin d’un autre côté, sans toi, on n’existe même pas, alors bon, ton utilité hein, on l’a jamais reniée. »C'est vraiment un amour cette simette!
Oui, alors en fait non, l’odeur que tu sens, là, c’est la poubelle renversée par monsieur vache. Ewww...